Arrivée

]LI-Sun arriva dans le grand temple, pour voir le grand namark, et pour prier avec lui
Elle demande: si c'est possible de voir le grand namark, et dis lui que LI-Sun est là pour le voir.

Le temple était splendide et grand, comme elle imaginait dans sesrêves les plus fous.

Le jeune bozu, habillé trés simplement d'une longue toge blanche, fut trés étonné par ces paroles. Il s'inclina humblement et dit :

Altesse Li-Sun Dorsel, c'est bien cela ? Vous désirez rencontre le "namark" ? Vous voulez parler de Son Eminence le Namdak plutôt ?

OUi Son Eminence le Namdak .

Trés bien, veuillez me suivre.

Le bozu du Grand Temple conduisit la jeune femme à travers de nombreux couloirs et de grands escaliers, où se trouvaient de nombreux religieux de tout âges, certains portant d'épais livres aux reliures marrons, d'autres discutant de sociologie ou de philosophie. Ils arrivèrent alors dans une longue salle dont la large porte était ouverte. Une sorte d'autel se trouvait au fond, surmonté de larges et épais coussins ou était assis en tailleur le Namdak. Assis de la même façon, une quinzaine d'ecclésiastiques discutaient, puis se turent lorsqu'ils virent la jeune femme. Tous se levèrent et s'inclinèrent. Tandis que le jeune bozu s'en allait, le chef du Temple prit la parole.

Bienvenue à vous en cet hâvre de paix et de connaissance.

Merci d'avoir accepté de voir ma noble personne, qui n'est pas pure comme vous, et qui a besoin de vos enseignements, parce que l'esprit bouddhinste à besoin de se laver de mes impures habitudes et que le grand Namdak m'aide dans ma quête de la spiritualité, sur ma noble personne.

Le Namdak invita la jeune femme à s'assoir en face de lui, tandis que les sages reprenaient leurs discutions autour d'eux.

L'homme simple croit tout ce qu'on dit, mais l'homme prudent est attentif à ses pas, n'oublie jamais cela. Quelles sont les maux abjects qui te torturent donc ainsi l'esprit pour que tu viennes quémander de l'aide ?

Vous voyez, des paroles impures sont sorties de ma bouche, et mon frère n'a pas vraiment aimé ça, et je ne veux pas que ça m'arrive encore.

Le chef religieux fronça légèrement les sourcils, en interrogation, en lui répondant :

Qu'entends-tu précisément par "paroles impures" ? Pour pouvoir t'aider, j'ai besoin d'en savoir plus.

mon frère dit que je parle pas bien pour une personne de mon rang mais je vous lejure que sa va plus se reproduire.

Dans un sourire teinté de malice, le Namdak répondit une nouvelle fois d'un proverbe, comme il aimait tant le faire.

L'artisan qui veut bien faire son travail doit commencer par aiguiser ses instruments. Si tu désires agir à la convenance de ton Royal Frère, ne parle jamais sans avoir murement réfléchi, pesant le pour et le contre de tes pensées. Sois assurée que ce que tu diras ait été suffisamment considéré.

Le Namdak demanda à ce qu'on leur apporta un désaltérant. Rapidement un bozu amena du thé vert de Daksha, et servit deux tasses. Devant le mutisme de la jeune noble, le Vénérable l'interrogea :

Es-tu satisfaite de mon aide ?

Merci pour votre aide je l'apprecie beaucoup.

Tant mieux, tant mieux. Puisse-t-elle t'apporter soutiens. Désires-tu un autre enseignement de ma personne ?

Ajouta le Namdak avant de saisir le thé dans ses mains et de commencer à le déguster.

Non vous avez répondu à tout mes attentes

» Audience de Sunus Tzuus au Palais Royal