Arrivée de Lin-Su Dorsel

LI-Sun Dorsel arriva enfin devant le palais, du seigneur suprême, que ses parents l'avaient forcés à partir pour qu'elle fasse son éducation, et soit digne d'aider son frère, le seigneur suprême,dans les charges du royaume.LI-Sun Dorsel était habillée du vêtement traditionel, d'une noble royale. Elle était contente de revenir dans le royaume ou elle était née, et elle avait hâte de voir son frère, le seigneur suprême. Elle monta les marche qui mènent jusque à la salle tu trône.Elle dit au garde: veiller annoncer l'arrivée de Li-Sun Dorsel, soeur du seigneur suprême, qu'elle souhaite lui parler.

Le garde salua la jeune femme en se courbant, les yeux vers le sol, puis il s'exécuta. Il entra dans la salle et parla à voix basse à un mandarin, qui lui même alla auprés de l'Outamaraya et lui annonça l'arrivée de sa soeur. L'Outamaraya donna son accord par un geste de la main. Le premier mandarin traversa la salle d'un pas vif et vit comprendre à Li-Sun qu'elle pouvait entrer, ce qu'elle fit tandis que le mandarin l'annonçait :

- Son Altesse Li-Sun Dorsel !

Les serviteurs présents se courbèrent sur son passage, jusqu'à ce qu'elle soit en face de l'Outamaraya, assis sur son trône sur une estrade relevée. Celui-ci esquissa un sourire et dit à l'assemblée :

- Que l'on Nous laisse seul, et que l'on Nous apporte expressement du thé.

En quelques secondes la salle se vida et une femme amena sur un plateau le thé demandé. Elle servit une tasse à chacun tandis que l'Outamaraya reprenait :

- Nous avons bien du plaisir de te revoir. Assied-toi donc à Nos côtés, dit-il en montrant un fauteuil brodé, tu dois avoir tant de choses à Nous apprendre.

Oui, j'ai beaucoup de choses à vous apprendre, peuple du royaume,
même au seigneur suprême qui sait tout sur le royaume.
Je suis très contente de revenir enfin dans le royaume, où je suis
née, et de vous aider dans les charges du royaume, si mon frère, grand
seigneur suprême, me permet de l'aider dans les tâches du royaume .
Comme j'ai dit: nos parents m'ont envoyé pour que mes connaissances que
j'ai acquises soient bénifiques pour le royaume .Nos parents pensaient
juste à l'avenir du royaume, et à sa prospérité, pour m'envoyer là-bas,
et au jourd'hui je suis prête à mettre les connaissances que j'ai
apprises au service de vous, mon frère, seigneur suprême du royaume.

Tout en l'écoutant, le Souverain but quelques gorgées de thé au beurre.

Chère soeur, quelles étaient donc les coutûmes de ce pays étranger ? Quels enseignements as-tu donc reçu ? Nous sommes curieux d'apprendre tout cela.

La russlavie à Des coutumes très proches au notre, et la politique moderne vont aider le royaume a devenir un royaume respecté et fort dans le micromonde.

Son Altesse Li-Sun Dorsel
Soeur de l'Outamaraya

L'Outamaraya paru étonné par ce que venait de lui dire sa soeur.

Nous ne comprenons pas ce que tu entends par "politique moderne". Quelles sont donc ces différences entre la politique Russlave et celle de Notre Royaume qui te font dire que ce pays est en avance sur Nous ?

Je ne dis pas qu'ils sont en avance sur nous, mais que leur politique
mérite de les connaîtres davantages, et de faire des accords
diplomatiques avec eux.

Sa Seigneurie Ti Mong de Daksha Notre estimé vassal a justement reçu pour mission de débuter des relations diplomatiques avec cette nation, soit assurée que Notre Royaume s'intéressera à la Russlavie.

Puis il se fit resservir une tasse de thé avant de reprendre.

Durant ton absence si loin de Nos terres, Nous espérons que tes serviteurs n'ont point failli à leur tâche de défendre ta vertue.

Je suis encore pure et le restera jusqu'a mon mariage et pas avant et sa vous pouvez compter sur moi.

Nous te faisons confiance, chère soeur, Nous te faisons confiance n'ait crainte. Des appartements en Notre Palais te sont réservés si tu désires te reposer. Nous mettons à ton service personnel notre loyal second mandarin, Tanpei, qui te servira jusqu'à la mort. Libre à toi de choisir parmis Nos serviteurs ceux et celles qui te suivront et s'occuperons de ta personne comme il se doit.

Merci cher frère de votre acceuille que ton règne sois long et beau.

Va en paix et que ta raison te guide chère soeur.

D'un geste de l'Outamaraya, les serviteurs revinrent. Le second mandarin rejoignit Li-Sun et la conduisit jusqu'à ses luxueux appartements dans une des tours du palais, tandis que des serviteurs les suivaient, chargés de présents divers et variés, comme un peigne taillé dans une corne de yack, des décorations capillaires en bois prévieux et vernis, et une grande chuba faite de nombreux tissus brodés finement.

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