Le Royaume Bouddhinste du Mnibet
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 [Culture] Armée, Criminalité et Justice

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Chaitanya Chinmay
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Chaitanya Chinmay


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MessageSujet: [Culture] Armée, Criminalité et Justice   [Culture] Armée, Criminalité et Justice Icon_minitimeVen 3 Avr - 2:04

Chapitre I : L'armée et la police au Mnibet

Ni l'armée, ni la police n'existent vraiment au Mnibet. Ce sont des entités souples et peu reconnaissables, peu distinctes. Les communautés religieuses possèdent leurs propres agents de police, des Bozus-policier. Ceux-ci, armés de longs gourdins, veillent au calme lors des fêtes religieuses. Il leur arrive de garder les fidèles à une certaine distance des belles statues de beurre alors que celles-ci fondent au soleil afin de signifier que rien ne dure sur cette terre.

Les personnes chargés de faire respecter l'autorité royale sont uniquement des nobles et des notables. Ils doivent se constituer une garde à leur frais, ils doivent lever des contingents de soldats par conscription dans les villages. Le soldat ne l'est jamais plus que quelques mois, une saison au plus. La police s'assimile donc à l'armée. Les soldats en général sont nommés Khampas, qui est le même terme utilisé pour les bandits. En effet, les soldats ne sont ni nourris, ni logés par leur employeur (à savoir l'Etat) et doivent manger et dormir en confisquant la propriété des paysans tels des brigands. Souvent les soldats sont également bandits et inversément.

L'équipement du soldat est très primitif. En premier lieu, s'il n'est pas un noble, c'est obligatoirement un piéton. Le cheval est réservé aux nobles. Les moutons, les yacks et les ânes servent de bêtes de sommes mais aussi de monture pour la cavalerie roturière. Le soldat s'équipe à ses propres frais, les riches sont donc mieux équipés que les pauvres et les conscris. Le fusil à silex est un luxe réservé aux élites. Le soldat n'est d'ailleurs pas payé, on lui permet de piller les maisons des condamnés, des ennemis ou des bandits. Il y a donc très souvent des exactions. L'armée est totalement irrégulière mais omniprésente. Elle est toujours ressentie comme quelque chose d'éminement négatif mais de nécessaire.


Chapitre II : La criminalité au Mnibet

Le Mnibet est fort montagneux, ce qui ralentit les communication et donc également le maintien de l'ordre du Royaume. Dans certaines régions reculées se développe un phénomène de banditisme. Ces brigands sont nommés Khampas, même terme utilisé pour les soldats. En effet les brigands sont souvent des déserteurs ou simplement des soldats n'ayant plus d'emploi. Les Khampas vivent en groupe mixtes de plus d'une cinquantaine de personnes et se montrent sans crainte dans les bourgs et les villages, ainsi que sur les chemins. Ils vivent de vols de grands chemins, voir même de pillages. Dans certains Cantons, ils font même pression sur le Seigneur. Les pélerins et les caravanes sont arrêtés et dépouillés, parfois même jusqu'aux habits. Les routes ne sont pas sûres au Mnibet. Les bandits sont la terreur des populations rurales et des monastères isolés. Il existe aussi le vol de bétail et le braconnage, deux crimes honteux aux yeux des Mnibétains.


Chapitre III : La justice au Mnibet

La justice est très stricte au Mnibet. Elle est rendue par la noblesse et accessoirement par le clergé si le crime est en rapport avec la religion. Le jugement rendu par un noble ne peut être cassé, même par le Roi (la grâce ne casse pas le jugement). Les châtiments sont d'une violence exemplaire. Pour le vol d'un animal, on peut recevoir jusqu'à cent coups de fouet. Le braconnage, strictement interdit, est puni de mort. Le brigandage est puni de mutilation puis d'exposition et parfois également de mort. En effet, lors des rares fois où l'on attrape un Khampa, celui-ci s'en sort rarement indemne. Le but principal des autorités n'est pas de punir un crime mais de montrer un exemple à chaque fois afin de faire de la "prévention". Comme châtiment, il existe les coups de fouet, les coups de baton, la décapitation (la tête est exposé sur une pique et le corps est abandonné aux rapaces), la mutilation (séparation des mains, du nez, des oreilles, éventuellement émasculation), le marquage (afin que la honte soit sur le marqué). Il existe aussi un autre châtiment bizarre: le condamné est promené à travers le pays entier pendant des mois avec des fers aux pieds. Ses gardiens ne lui donnent ni à manger ni à boire et le criminel doit mendier cela auprès des passants. Punition rarement mortelle étant donné la générosité des Mnibétains...
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